
Le gardien de but international congolais, Timothy Fayulu, évoluant au sein du FC Sion en Suisse, a récemment vécu un moment de tension sur le terrain, lors d’un match contre Saint Gall. En toute fin de rencontre, un accrochage avec un joueur adverse a dégénéré, menant à une confrontation physique entre les deux sportifs. Suite à cet incident, Fayulu a reçu un carton rouge direct, tout comme son opposant.
Après le match, l’international congolais a tenu à s’excuser publiquement auprès de ses fans et de tous ceux qui suivent son parcours. Dans une déclaration empreinte d’humilité et de responsabilité, il a écrit : « Je tenais à vous écrire après une fin de match chaotique. » Fayulu a voulu apaiser la situation et reconnaître que l’incident fut un dérapage regrettable.
Revenant sur le contexte de cette altercation, celui-ci a ajouté : « Je sais que cette fâcheuse situation fut une erreur, mais jamais je n’abandonnerai qui que ce soit sur le terrain ou en dehors ». Par cette déclaration, le portier congolais affirme son engagement indéfectible envers son équipe et ses coéquipiers, tout en condamnant la violence, qui ne fait pas partie de sa personnalité ni de ses valeurs.
Malgré ce moment de tension, le troisième gardien des Léopards de la RDC reste déterminé à aller de l’avant. Il a exprimé sa volonté de continuer à défendre les couleurs de son club avec passion et détermination : « Je me battrai corps et âme pour mon club, ainsi que mes coéquipiers, mais surtout pas la violence car ce n’est pas moi. »
Enfin, le gardien de but conclut son message sur une note positive, invitant ses fans et ses coéquipiers à aller de l’avant : « On regarde en avant, tête haute, et on continue… Merci infiniment pour votre présence et je vous dis à bientôt ».
Avec cette prise de parole, Timothy Fayulu montre non seulement sa détermination à assumer ses erreurs, mais également son désir de continuer à évoluer en tant que sportif respectueux et engagé. Ces excuses publiques soulignent sa maturité et son attachement aux valeurs du fair-play.
Baraka Mbakwa