À Beni-ville, le temple de l’Église locale Francophone CECA 20 a été à l’honneur le dimanche 20 avril 2025, lors d’un culte solennel qui a réuni de nombreuses personnalités, dont des fidèles venus de diverses communautés, ainsi que des autorités politico-administratives, militaires, et des députés nationaux et provinciaux. Ce culte a marqué l’inauguration officielle de ce temple, dont la construction a duré plus de dix ans.
À cette occasion, le Ministre du Commerce extérieur de la République Démocratique du Congo, Son Excellence Julien Paluku Kahongya, a offert un véhicule neuf de marque Harrier aux pasteurs de la CECA 20 Francophone de Beni-ville. Ce véhicule, de couleur noire, a été présenté par le député national Atsongya Kiyaya Elvis, élu de la ville de Beni. Ce dernier a représenté son autorité morale, le ministre Julien Paluku du Burec, à cette cérémonie de dédicace du temple situé au quartier Résidentiel, dans la commune de Bungulu.

Selon l’honorable Atsongya Kiyaya Elvis, ce don du gouverneur honoraire du Nord-Kivu vise à soutenir l’avancement de l’Évangile, mais aussi à faciliter la mission pastorale des hommes de Dieu.
Après la réception du véhicule, le Révérend Pasteur Ndahiro Kambere, responsable de la CECA 20 Francophone de Beni-ville, ainsi que le Révérend pasteur Kokole Idringi Jean, représentant légal et président Communautaire de la Ceca20 en RDC, ont exprimé leur profonde gratitude au ministre Julien Paluku Kahongya pour ce geste généreux. Ils ont affirmé que ce don répondait à un besoin crucial de l’église. « C’était vraiment un besoin majeur auquel Dieu vient de répondre à travers son fils Julien Paluku Kahongya, que nous remercions énormément, ainsi que son serviteur Atsongya Kiyaya Elvis pour les démarches », ont-ils déclaré tour à tour.
En complément, pour soutenir les travaux de finition du temple, le député national Atsongya Kiyaya Elvis a offert un important lot de sacs de ciment à l’église CECA 20 Francophone. Ce geste a été salué par les fidèles, qui ont promis en retour un accompagnement indéfectible à celui qu’ils surnomment « l’homme du développement ».
Remias Sumaili