Beni : Les métiers informels, une opportunité sous-estimée par la jeunesse
Plusieurs jeunes de Beni trainent à reconnaître la valeur des métiers informels, pourtant essentiels et rentables. Alors que certains hésitent à s’y engager par peur du regard social, d’autres, comme Francine Malik et Josh Kisembo, ont décidé de faire de leur passion un véritable métier. Ces jeunes démontrent que "il n’y a pas de sot métier, mais plutôt de sottes gens", et appellent à un changement de perception.
Francine Malik, danseuse chorégraphe, est bien consciente du regard que porte la société sur son métier. Pourtant, elle reste convaincue de l’impact et de l’importance de la danse dans sa vie et son avenir.
« C’est normal qu’ils minimisent ce que je fais, car ils ne voient pas l’impact de la danse. Moi, je sais à quel point c’est important. Il faut juste oser. Comment s...